Hack Reactor, un atelier pratique de codage destiné à accélérer la carrière des participants, a bâti sa réputation en proposant une formation de qualité exceptionnelle aux milliers d’étudiants qui franchissent les portes de ses établissements.
« Le plus grand défi pour une entreprise de service, c’est de faire en sorte que ce service soit réellement exceptionnel », affirme Tony Philips, PDG de Hack Reactor. C’est d’autant plus vrai lorsque l’équipe est fractionnée : Hack Reactor dispense des cours sur 6 campus différents, répartis à travers tous les États-Unis.
Pour Hack Reactor, il est essentiel d’optimiser chaque détail dans chaque établissement. « Le soin méticuleux que nous apportons à l’éducation de nos élèves constitue l’un de nos principaux atouts. Par exemple, lors de la journée d’orientation, même les informations sur les porte-noms doivent être exactes et parfaitement orthographiées. C’est en cela qu’un service de qualité se distingue des autres. Les meilleures entreprises de service ont bien conscience de l’importance de toutes ces petites choses. Chaque détail compte. »
Quand Hack Reactor n’en était encore qu’à ses débuts, Tony n’avait aucun mal à garder un œil sur toutes les pièces de l’échiquier, quelle que soit leur importance. Toutefois, à force d’ouvrir davantage d’établissements et d’accueillir davantage de personnel et d’étudiants, assurer le même souci du détail à grande échelle est devenu un véritable défi. Tony n’était pas sûr que chaque détail était bien pris en compte.
« Nous avions besoin de standardiser un grand nombre de processus tout en les déployant sur différents sites en même temps. Nous sommes présents à New York, Austin, Los Angeles, San Francisco et sur le Web. Obtenir les mêmes résultats à New York et à San Francisco n’est pas une mince affaire. Chaque événement, chaque état d’esprit, chaque émotion… tout doit rester synchronisé. »
Après avoir élaboré un processus, l’équipe avait besoin d’une plate-forme centralisée afin de stocker les informations et ainsi déployer ce processus sur d’autres sites tout en assurant la transparence que Tony recherchait.
Pour Tony, il était temps « d’extraire les informations de son cerveau » et de les rassembler là où son nombre croissant d’employés pourrait en faire usage. « Nous sommes abreuvés d’informations. Notre cerveau a très mauvaise mémoire, mais il sait bien analyser. Stocker ces informations sur un outil externe est essentiel si l’on veut les exploiter. »
Pour choisir l’outil le mieux adapté à ses besoins, Tony s’est alors posé alors les questions suivantes :
Après l’avoir utilisé personnellement, Tony a décidé de déployer Asana dans l’ensemble de l’équipe Hack Reactor. « Nous nous sommes décidés à franchir le pas lorsque la technique de la fusion des esprits a cessé de fonctionner. Dès que le groupe n’arrive plus à communiquer par télépathie parce qu’il s’est trop agrandi, un sentiment d’insécurité s’installe. »
Pour commencer, Tony a décidé de mettre à la disposition de l’ensemble de l’entreprise tous les documents associés à certains processus clés concernant les cours et les établissements. Une fois ces informations transférées sur Asana, Tony savait que son équipe aurait toutes les clés en main pour bien faire son travail.
Il fallait également que l’outil leur permette d’accroître leur efficacité à mesure que de nouveaux établissements ouvraient leurs portes, et c’est la raison pour laquelle l’API d’Asana constituait pour eux un atout de taille.
« Là où Asana se distingue le plus des autres outils, c’est la grande facilité d’accès à son API. Même lorsqu’Asana n’est pas parfaitement adapté à un processus, l’ingénieur logiciel relativement médiocre que je suis peut ajouter des fonctionnalités via l’API pour concevoir une solution personnalisée et ainsi rendre l’équipe plus productive. »
Après avoir tiré parti des modèles Asana pour copier des projets et des processus, l’équipe Hack Reactor a décidé d’ajouter d’autres fonctionnalités personnalisées via l’API et de créer un programme baptisé Show Runner. « Nous utilisons un gigantesque modèle de classe. Grâce à l’API d’Asana, nous pouvons faire en sorte que toutes les tâches nécessaires pour une nouvelle classe soient copiées et attribuées automatiquement. Le système que nous avons conçu avec l’API nous permet d’attribuer les tâches reproductibles aux bonnes personnes, et ainsi de nous concentrer sur les choses importantes au bon moment. Chaque détail est pris en compte. »
Aujourd’hui, Hack Reactor compte plus de 200 employés, et tous utilisent Asana pour gérer leurs différents processus. « Nos processus de gestion passent par Asana. Nos évaluations des performances passent par Asana. Nos procédures opérationnelles standards passent par Asana. Nos politiques de ressources humaines sont pilotées depuis Asana. Même les activités organisées pour booster le moral des employées passent par Asana. Tout passe par Asana. »
“Nous ne pouvons vraiment plus nous passer d’Asana. Tout le monde utilise Asana, partout dans l’entreprise.”
— Tony Phillips, PDG de Hack Reactor
L’utilisation d’Asana dans l’ensemble de l’entreprise a été essentielle au développement de Hack Reactor. Tony le dit lui-même : « En transférant nos processus sur Asana, nous avons pu accroître notre efficacité et diviser nos coûts opérationnels par deux. Cette diminution des coûts s’accompagne d’une augmentation de la qualité des cours tout en ouvrant davantage de perspectives après la formation. » 98 % des diplômés de Hack Reactor trouvent un emploi.